Le diamant naturel blanc et de couleur

Vous souhaitez en apprendre un peu plus à propos de cette gemme légendaire ? Cet article est écrit pour vous !

Connu des humains depuis 3000 ans, le diamant a toujours été une pierre à part à cause de son extrême dureté. Les techniques de taille qui ont permis de révéler tout son potentiel de brillance sont finalement très récentes.

Dans cet article, je vous propose d’en découvrir un peu plus à propos de cette gemme d’exception, emblématique de la joaillerie.

Table des matières

À propos du diamant

Le diamant est l’une des forme cristalline du carbone, formée dans le manteau terrestre pendant plusieurs millions d’années, grâce à des températures et une pression extrêmement élevées. 

Il est le matériau naturel le plus dur sur l’échelle de Mohs, noté à 10. Pour comparaison, les saphirs et les rubis, de la famille des corindons, noté 9 sur cette même échelle, sont 4 fois moins durs que le diamant.

La dureté fait référence à la résistance à l’abrasion. Les meilleurs diamants ne peuvent être rayés que par un autre diamant.

diamant naturel brut

En revanche, le diamant ne supporte pas spécialement bien les chocs, en particulier si celui-ci se porte sur une ligne de clivage au sein de la pierre, ce qui peut amener à la casser net en deux. Généralement, les pierres sont taillées de manière à limiter ce risque, en évitant autant que possible ces lignes de clivage à l’intérieur de la gemme.

Néanmoins, selon la qualité de chaque diamant, des différences de dureté peuvent être observées, en fonction de sa pureté (présence ou non de corps autre que le diamant dans la gemme) et de la perfection et de l’orientation de sa structure cristalline.

Cette dureté contribue fortement au succès du diamant : sa résistance aux rayures en fait un candidat idéal pour les bagues de fiançailles, les alliances ou les bijoux destinés à être portés quotidiennement.

L’indice de réfraction du diamant est particulièrement élevé, ce qui explique sa brillance si spécifique. La gemme fonctionne comme un prisme, en freinant la lumière en fonction des longueurs d’onde qui la compose (du violet au rouge en passant par le bleu, le vert, le jaune…), créant un effet arc-en-ciel des plus esthétique. 

Cependant, pour dévoiler ce potentiel lumineux, la qualité et la géométrie de la taille de la pierre sont primordiales, et les tailles les plus optimisées datent tout juste de 1978.

Histoire du diamant naturel

Les premières traces d’exploitation du diamant validées par les historiens, remontent à 3000 ans, en Inde, où les gemmes sont trouvées dans la boue des cours d’eau ( on appelle cela des gisements alluvionnaires).

Associé aux divinités à cause de ses propriétés physiques, il a longtemps été utilisés comme amulette, jusque dans l’antiquité romaine, période à laquelle il commence à être monté en bijou et où il gagne son statut de « pierre précieuse ».

Boudé durant le Haut Moyen-Age, car condamné par l’Église pour les croyances païennes qui lui sont associées, conjugué à l’expansion de l’Islam et au monopole de la route de la soie par les civilisations moyenne-orientales qui rend difficile son importation depuis l’Inde, son commerce connaît un nouvel essor avec l’ouverture de nouvelle routes maritimes suite aux Grandes Découvertes de la fin du 15ème siècle. Le commerce du diamant en Europe sera longtemps l’apanage de la cité de Venise.

Les mines indiennes et indonésiennes s’épuisent au cours des siècles d’exploitaion. De nouvelles mines sont découvertes au Brésil au 18ème siècle, en Afrique du Sud au 19ème siècle (l’exploitation de ces mines africaines donneront le jour à la société De Beers, à ce jour la plus grande entreprise diamantaire mondiale). Enfin, dans les années 1970, les deux plus grands gisements mondiaux encore exploités à ce jour seront découverts en Australie et en Sibérie.

Critères de qualité : les quatre "C"

La qualité des diamants blancs est définie par quatre critères précis, appelés les « 4C »:

  • Cut : la qualité de la taille du diamant
  • Carat : le poids du diamant
  • Color : la couleur du diamant
  • Clarity : la pureté du diamant.

Cut : la taille du diamant

Par le terme de « taille », il faut comprendre non pas les dimensions mais la forme donnée à la pierre : ronde, princesse, cœur, marquise, etc.

La plus connue est la taille rond brillant, ainsi baptisée car les proportions et les inclinaisons des facettes font que l’ensemble de la lumière pénétrant à l’intérieur ressort grâce à la réfraction lumineuse par le sommet de la pierre (appelé « la table »), lui donnant ainsi une brillance maximale et un « feu » incomparable.

Ce facteur de qualité est donc capital, car une pierre au demeurant très pure et blanche mal taillée peut perdre énormément de son potentiel de brillance et donc de son intérêt esthétique et de sa valeur : elle laissera de la lumière se disperser vers le dessous de la pierre, hors de la vue de l’observateur.

qualité-taille-diamant

Une échelle de classification à 5 niveaux permet de définir cette qualité :

  • « Excellent » désigne un diamant avec une brillance et des feux magnifiques
  • « Very Good » désigne un diamant qui réfléchit la majorité de la lumière et présentant donc une très belle brillance
  • « Good » désigne un diamant avec une bonne brillance
  • « Fair » désigne des pierres peu brillantes
  • « Poor », enfin, désigne des diamants ternes et « sans vie ».

Les deux meilleures qualités sont à privilégier pour un bijou.

Carat : le poids du diamant

Pour la petite histoire, le terme « carat » découlerait de l’arbre du Caroubier, dont les graines auraient servi d’étalon pour la pesée des pierres.

Aujourd’hui, le carat est une unité de mesure spécifiquement utilisée pour déterminer le poids des pierres en joaillerie. Évidemment, plus la pierre est grosse, plus elle sera chère, en tenant également compte des autres critères, bien sûr (un diamant noir de 1 carat sera moins cher qu’un diamant blanc du même poids avec très peu d’impuretés).

Il faut retenir que 1 carat = 0,20 gramme. 

Le « carat » de bijouterie utilisé pour parler de la quantité d’or pur présent dans l’alliage qui compose le bijou, est à comprendre en terme de pourcentage (18K = 75% d’or pur, 14K = 53% d’or pur, 9K = 37,5% d’or pur) et n’a donc rien à voir avec le carat d’une pierre, qui désigne uniquement son poids.

Colour : la couleur du diamant

La plus grande partie des diamants découverts sont incolores (comprendre : blancs). Les diamants de couleur existent également, mais dans des proportions beaucoup plus faibles qui vont encore en s’amenuisant au fil des ans et de l’épuisement des mines qui en produisent. Les diamants de couleur ont leur propre échelle de classification.

L’échelle de classification des diamants incolores consiste en une série de lettres, allant de D à Z, le D étant le blanc pur et le Z un blanc franchement jaune-brun. Cette classification se fait uniquement à l’œil et demande une bonne expérience et sensibilité aux nuances colorées. Elle est réalisée par un gemmologue confirmé.

 

échelle de couleur diamant incolore
  • D à F : diamant incolore, blanc parfait
  • G à J : diamant à faible teinte jaune,
  • K à M : diamant jaune pâle,
  • N à R : diamant jaune très clair,
  • S à Z : diamant jaune clair.

Un beau diamant incolore est à choisir dans une couleur entre D et H.

Clarity : la pureté du diamant

La création d’un diamant dans les entrailles de la terre prends jusqu’à plusieurs millions d’années et est tributaire des mouvements telluriques. Sa formation peut donc connaître des à-coups, durant lesquelles des impuretés viendront se nicher au sein de la gemme.

Selon que ces impuretés sont visibles ou pas, à l’œil ou par grossissement à la loupe, par la table de la pierre ou sur le côté, le diamant sera défini comme plus ou moins pur et donc, avec plus ou moins de valeur.

Les impuretés sont plus facilement visibles dans les pierres de grosses dimensions, une pierre de 1 carat avec une pureté élevée sera donc plus rare et proportionnellement plus chère qu’une pierre très petite où les inclusions seront plus facilement dissimulables.

Une échelle de classification permet de s’y retrouver :

échelle de pureté diamant
  • FL « Flawless » : aucun défaut, interne ou externe, visible à la loupe grossissement X10 (moins de 1% des diamants),
  • IF « Internally Flawless » : aucun défaut interne visible à la loupe grossissement x10 supérieur à 5 microns,
  • VVS1 et VVS2 « Very Very Small Inclusion(s) » 1 ou 2 : minuscule(s) inclusion(s), très difficilement visible(s) à la loupe x10
  • VS1 et VS2 « Very Small »  1 et 2 : très petites inclusions difficilement visibles à la loupe x10,
  • SI1 et SI2 « Small Inclusion(s) » : petite(s) inclusion(s) facilement visible(s) à la loupe x10 ou à l’œil nu par le côté de la couronne,
  • P1, P2, P3 « Piqué 1, 2 ou 3 » : inclusions nombreuses, souvent visibles à l’œil nu et qui nuisent à la brillance de la pierre.

En fonction de la taille du diamant, certaines qualités sont à privilégier :

  • pierres rondes de moins de 1 carat : VS1 à SI1 seront suffisantes, car les impuretés ne seront pas visibles.
  • pierres rondes supérieures à 1 carat : VVS1 et VS2
  • tailles émeraude,  baguette et asscher : VVS1 et VS2
  • tailles princesse, poire, ovale, coussin, marquise, cœur : de VVS2 à SI, car ces formes masquent mieux les défauts.

D’une manière générale, plus le diamant est lourd (supérieur à 1 carat), plus la pureté doit être augmentée pour s’assurer d’avoir une belle pierre.

Certification du diamant

Cette quantité de critères peut donner le tournis et doit surtout bien faire comprendre qu’en matière de diamant et plus largement de pierre, un niveau d’expertise très élevé est requis pour pouvoir affirmer de sa qualité. Les arnaques sont extrêmement faciles à perpétrer.

Si vous souhaitez acquérir par vous-même un beau diamant, choisissez une entreprise à même de vous fournir un certificat de gemmologie associé à la pierre.

Seuls les gemmologues formés à l’expertise du diamant et les laboratoires de gemmologie indépendants sont compétents pour fournir un certificat de gemmologie digne de confiance. Parmi eux :

  • le GIA est le plus réputé (Gemmological Insitute of America à New York),
  • le HRD (Hoge Raad vor Diamant à Anvers),
  • le IGI (International Gemmological Institute à Anvers),

La délivrance de ce certificat peut être payante, s’il n’est pas inclus dans le prix de départ de la pierre. Il peut être exigible à la vente de tout diamant supérieur à 0,3 carat.

Ce certificat est la carte d’identité du diamant, il donne la degré de qualité de la pierre selon le critères des 4C et plus encore. Doivent y être inscrits :

  • le nom du laboratoire,
  • une date,
  • un numéro de rapport,
  • la description de la pierre (naturelle ou de laboratoire),
  • sa forme et son type de taille (par exemple : taille brillant, taille princesse…),
  • ses dimensions au centième de millimètre,
  • son poids en carat
  • son grade de couleur (de D à Z pour un diamant incolore),
  • son grade de pureté (de FL à S2),
  • si sa couleur et sa pureté ont été traitées ou si elles sont naturelles

La pierre ainsi certifiée aura été gravée au laser sur la circonférence de la pierre avec un numéro unique. Ce numéro seul permettra d’affirmer que cette pierre est bien celle décrite dans le certificat. En effet, rien ne ressemble plus à une pierre qu’une autre pierre, rendant ainsi toute expertise extrêmement difficile s’il n’y a pas un moyen de reconnaissance précis.

Les diamants naturels de couleur

Les diamants naturels de couleurs sont infiniment plus rares que les diamants incolores (de blanc pur à jaune clair) et bénéficie à ce titre d’une échelle de classification spécifique. La mine d’Argyle, en Australie, qui fournissait la majorité des diamants roses, jaunes et bruns du monde, a fermé ses portes en 2020. Aujourd’hui, les diamants roses sont très difficilement trouvables et à des prix au carat très élevés. Les diamants jaunes et bruns, trouvables dans d’autres mines, n’ont pas suivis la même envolée de prix que les diamants roses.

Toutes les couleurs existent : jaune, bleu, rose, rouge, vert, brun, gris, orange, etc…

Les teintes les plus rares sont le bleu, le vert, le rouge, le rose ou le orange. Les plus courantes sont le jaune et le brun.

La pierre sera qualifiée de « diamant de couleur » lorsque sa teinte dépassera le seuil du Z en classification de pierre incolore. Elle sera alors qualifiée de « Fancy », pour désigner un diamant considéré « de couleur » (en d’autres termes, avec une couleur suffisamment soutenue).

Pour les diamants jaunes à bruns, il y a 6 degrés de teintes au-delà du Z (sur l’image, diamants jaunes) :

échelle couleur diamant jaune

Pour toutes les autres couleurs de diamant, il y a 9 degrés de teintes au-delà du Z :

échelle de teinte diamant de couleur

Ces échelles rendent compte du ton de la pierre (clair ou foncé) et de sa saturation colorée (basse ou élevée).

Chaque diamant de couleur est unique et peut présenter une teinte dégradée. Les images que vous venez de regarder ne montrent qu’une infime partie du spectre que peuvent présenter les diamants de couleur. Il est fréquent qu’un diamant de couleur ait des teintes mélangées : il peut alors être qualifié de « jaune-brun », « bleu-vert », « rose-brun », etc…

Pour un diamant de couleur, peu importe les inclusions et la pureté. Les critères importants sont la teinte et le poids. Même la qualité de la taille peut être secondaire, si la couleur est belle.

Pas besoin de préciser qu’un bijou portant un beau diamant de couleur est une pièce d’exception !

Pour les diamants de couleurs, exigez un certificat du GIA uniquement.

Les tailles de diamant

Il existe aujourd’hui un nombre très varié de taille de diamant. Cela n’a pas été le cas durant très longtemps, car la dureté caractéristique de cette pierre a empêché durant des siècles de pouvoir l’usiner correctement.

La géométrie d’une pierre facettée se compose de la table (sommet plate de la pierre), de la couronne (pourtour de la table), du feuilleti (fine ligne plane faisant le tour de la pierre, perpendiculaire par rapport à la table, située entre la couronne et la culasse), de la culasse (partie pointue inférieure de la pierre) et possiblement d’une colette (facette plate situé en bas de la culasse, de manière parallèle à la table). La colette est visible depuis la table et apparaît de manière disgracieuse comme une tâche sombre où il n’y a pas de brillance. Une pierre taillée aujourd’hui portant une colette est une pierre mal-taillée.

taille-de-pierre

Il est nécessaire, pour tailler un diamant, d’utiliser un autre diamant. D’ailleurs, plus d’un tiers des diamants naturels extraits sont destinés à un usage industriel, pour la taille de diamant ou tout autre secteur où les propriétés de dureté, de conductivité et de réfraction de la lumière du diamant ont un intérêt.

Actuellement, la taille des diamants se fait principalement à Anvers, Tel-Aviv et au Gujarat. La taille s’effectue majoritairement de manière industrielle, sauf à Anvers où les pierres de plus de 0,5 carat sont encore taillées selon des méthodes artisanales.

Les tailles contemporaines

La plus célèbre des tailles et la plus employée, notamment pour les pierres de petites dimensions, est la taille rond brillant. Les autres tailles sont considérées comme des tailles fantaisies du diamant.

Voici une liste des tailles les plus courantes utilisées aujourd’hui :

tailles de diamant

La taille brillant a été créée en 1919 par Marcel Tolkowsky à partir de calculs optimisant au maximum la réfraction de la lumière dans le diamant, dans le but d’obtenir une brillance et un feu parfaits. Elle se compose de 57 facettes, 33 sur la couronne, 24 sur la culasse. Ces facettes sont régulières et ont toutes des dimensions bien définies.

Cette taille a continué de faire l’objet de recherches dans les décennies suivantes jusqu’en 1978 où l’International Diamond Council a publié un rapport définissant les normes de taille et de polissage permettant d’exploiter de manière optimale les qualités de réfraction du diamant.

Aujourd’hui, de nombreuses autres tailles ont été créées, comme l’emblématique taille Princesse, un carré à angles.

Les tailles anciennes

On parle de taille ancienne pour tous les diamants taillés avant la découverte de la taille brillant, ou qui ont été taillés sans tenir compte de ces connaissances.

Aujourd’hui, ces tailles sont encore pratiquées, soit pour leur caractère esthétique un peu suranné qui peut avoir son charme, soit pour leur faible prix de vente, ou encore pour permettre aux bijoux anciens d’être réparés lorsqu’une pierre est perdue ou cassée. Il est important de remplacer un diamant tombé ou abîmé par une pierre de même qualité que celles déjà présentes sur le bijou, sinon la différence d’éclat (en mieux ou en moins bien) sera inesthétique.

Alors qu’elles sont maintenant réalisées à dessein, ces tailles étaient autrefois le maximum réalisable avec les connaissances et les possibilités techniques de l’époque.

Du début de l’exploitation du diamant en Inde et jusqu’au Moyen-Âge, les faces extérieures des diamants bruts étaient simplement aplanies. À partir du 17ème siècle, les premières pierres facettées avec une table plate apparaissent. Elles restent cependant peu voire pas brillantes. Les tailles anciennes présentant plus d’éclat sont élaborées à partir du 18ème siècle. Il existe différentes types de tailles anciennes (liste non-exhaustive) :

diamant tailles anciennes

En conclusion

Cet article à propos du diamant naturel avait pour but de vous faire entrevoir l’étendue du sujet et sa complexité.

Cette pierre fascinante, devenue encore plus célèbre avec l’avènement de la taille brillant qui en a révélé tout les feux, continue de faire rêver à travers le monde.

En dehors d’un professionnel formé, il est très difficile pour ne pas dire impossible de donner une réelle estimation à minima esthétique, voire de prix : pour ce point, il faudra nécessairement s’adresser à un gemmologue ayant obtenu une formation de diamantaire. Tous les gemmologues ne disposent pas de cette formation.

Néanmoins, un aspect en particulier n’a pas été traité ici : quid des diamants de laboratoire, ou de synthèse comme on peut également les appeler ? Cette question sera traitée très bientôt dans un nouvel article !

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Sources

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Cet article a été écrit dans un but purement pédagogique, à destination du grand publique pour contribuer à une meilleure connaissance de l’univers des la bijouterie-joaillerie.

Il n’a pas la prétention d’être exhaustif et a vocation à être enrichi.

Merci d’avance de laisser des commentaires à minima respectueux et polis ainsi que des critiques constructives. Je serai ravie de corriger toute erreur que vous détecteriez dans le fond des propos rapportés ci-dessus.

En espérant que cette lecture vous aura été utile !

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